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Repas de famille

Elle était venue à la maison pour le sempiternel repas de famille qui avait lieu tout les ans. C'était une corvée bien écrasante à vrai dire, mais elle semblait calme, attentive, prête à tout les compromis pour plaire à ma famille. Elle écoutait sagement ma mère, mes tantes, mes oncles, cousins discuter de leurs souvenirs, parlant fort et buvant pas mal. La soirée a commencé à être longue et ennuyeuse dès la première seconde. Mon frère dormait à moitié sur sa chaise, la tête quasiment dans l'assiette. De temps en temps elle me jetait un regard compatissant et moi, je ne pouvais m’empêcher de penser qu’elle était vraiment belle et désirable dans cette demie clarté de bougies, petites lumières et fond télévisé. Elle me jetait d'ailleurs de plus en plus souvent des regards, toujours un peu plus provocateurs avec un demi sourire sur les lèvres. Elle était joueuse et je le sentais particulièrement ce soir. Je n’avais jusqu’alors pas fait plus attention à la tenue qu’elle portait, une jupe marron un peu volante avec une ceinture tressée et un top discrètement décolleté. Je la voyais qui jouais avec mon regard, et je me suis alors rendu compte qu’elle avait tendance à glisser ses mains un peu trop souvent sous la table. Quand elle vit que j’avais compris elle me regarda et lécha discrètement un de ses doigts humides. Comprenant son manège, j’imaginais déjà ses doigts pénétrant son intimité humide, se frayant un passage de plus en plus poussé à l’intérieur de son vagin pendant qu’autour d’elle tout le monde discutait sans faire attention à nous. Elle portait des bas résilles,  maintenant que je m’en souviens, et peut-être même avait elle poussé l’audace jusqu’à avoir mis un porte jartelle. Je commençais à avoir du mal à me contrôler en la devinant écarter les jambes lascivement et, à l’insu de tous, glisser ses doigts dans son sexe humide. Je la voyais poussant de légers soupirs, tellement discrets que personne ne semblait le remarquer. De temps à autre elle participait à la conversation par quelques mots bien placés. Moi qui ne me sentais plus même capable de converser avec le restant de la tablée, j’admirais sa parfaite maîtrise d’elle-même. Elle me regarda alors, attardant sa langue quelques secondes sur ses lèvres et je sentis son pied effleurer mon genou. J’étouffais ma surprise dans un toussotement gêné pendant qu’elle remontait lentement le long de ma jambe d’un air coquin. Elle glissa jusqu’à mon entre jambe et appuya doucement sur mon sexe en érection, le caressant, sans me quitter des yeux une seconde, allant plus fort à certains instants et diminuant la pression parfois pour me laisser le temps de me calmer. Je commençais à perdre le contrôle tant elle était excitante, là, la main encore humide et les jambes écartées sous la table… J’avais la tête qui tournait, je me voyais la prendre dans toutes les positions et je l’entendais déjà crier de plaisir pendant que je la pénétrais…  
N’y tenant plus je m’étais levé et mit fin à la soirée familiale en prétextant un travail monstre qui m’attendait le lendemain et que d’ailleurs nous étions tout les deux bien fatigués. Je dis au revoir à toute la famille et le moment me parut d’une longueur extrême. Elle était souriante comme si rien ne s’était passé, faisant des politesses à l’un et à l’autre avec une subtilité incroyable. Au bout d’une demie heure nous avions enfin franchi le pas de la porte et nous nous dirigions vers la voiture. Elle ne disait rien mais je la voyais sourire dans l’ombre alors que sa jupe voletait dans ce froid de fin de soirée. Sans un mot j’ai pris le volant pendant qu’elle s’asseyait négligemment sur le siège à côté de moi. La petite lumière de l’ouverture des portes finit par s’éteindre et je fis démarrer la voiture silencieusement. Pendant que je conduisais je ne pouvais pas m’empêcher d’apercevoir ses cuisses quelque peu ouvertes et surtout découvertes par la jupette qui remontait sur ses jambes. Elle avait ouvert la fenêtre alors qu’il faisait froid, et même enlevé sa veste. Je voyais ses tétons qui pointaient et je ne pouvait plus cacher mon érection. Elle m’a regardé et a sourit malicieusement, alors j’ai posé une main sur sa cuisse et l’ai glissée sous sa jupe, profitant du  feu rouge. Elle ne portait pas de culotte et était trempée. Je n’ai pas pu m’empêcher de laisser quelques doigts parcourir la chaleur de son sexe. Elle poussa un gémissement puis encore un autre, et un autre...  Lorsque le feu est arrivé au vert, je ne sais comment j’ai réussi à enlever ma main de son sexe et de sa chaleur humide. Je me suis dirigé vers l’autoroute à une allure insensée et ai arrêté la voiture dans un coin de la forêt, enfoncé dans les broussailles. Elle est alors allé vers l’arrière, m’offrant une vue imprenable de ses fesses que j’ai caressés au passage. Je l’ai suivi et jeme mis alors à l’embrasser à pleine bouche et à la plaquer contre la vitre de la voiture. S’en était trop, elle m’avait provoquée toute la soirée… Comme pour se faire pardonner elle glissa sa main dans mon pantalon trop serré pendant que je prenais sa lourde poitrine dans mes mains. Je suçais ses tétons un a un, avec une ardeur folle. Elle soupirait de plaisir sous mes caresses et écarta les jambes pour que je puisse y glisser un doigt puis deux et elle gémit un peu plus fort. Puis elle enleva mon tee shirt et glissa sa bouche jusqu’à mon sexe qu’elle prit délicatement dans ses mains, avant de l’engouffrer dans sa bouche. Elle gémit à son contact et me suça tout en me regardant. N’en pouvant plus, je donnais de légers coups de hanches qui ne firent qu’augmenter mon excitation, je la guidais d’une main pendant que l’autre s’attardait sur sa poitrine. Elle elle m’avala entièrement, doucement puis violemment, titillant mon sexe de sa langue. Sans que je m’y attende elle me poussa sur le fauteuil et s’empala sur ma verge dans un gémissement. Elle commença à donner des coups de hanches tout en gémissant de plus belle, pendant que je suçais avidement ses tétons durcis par le désir. Ses cheveux blonds se balançaient au rythme de ses ondulations de manière sensuelle. Elle me griffait le dos sans même s’en rendre compte, poussant des cris parfois tant le plaisir était grand. Et elle ondulait dangereusement, je l’entendais gémir de plus en plus fort et je m’emparais de sa langue encore. Elle sentait que je commençais à venir alors elle se retira et me masturba rapidement de façon précise tout en me suçant jusqu'à ce que je vienne, alors ma main posée sur sa tête, elle m’avala ses yeux plantés dans les miens et sa langue nettoya le reste de ma semence avidement. Elle passa la langue sur sa bouche où le sperme avait coulé, relevant d’une main ses longs cheveux qui tombaient en cascade sur sa poitrine nue.  

(pas trop osé ?)

Ecrit par cathy-, le Jeudi 5 Janvier 2006, 21:00 dans la rubrique "Premiers Pas".

Commentaires :

dirkdiggler
dirkdiggler
20-01-06 à 16:26

meuh non! et merci pour ce texte, ça faisait longtemps qu'il n'y avait plus signe de vie ici...

Dis moi : tu as une grosse voiture, toi??? lol


 
cathy-
cathy-
20-01-06 à 18:25

pas besoin d'avoir une grosse voiture ;-)

 
dirkdiggler
dirkdiggler
23-01-06 à 16:32

Re:

ah! bah alors je dois pas être doué :-))
moi j'ai testé dans une polo, j'ai galéré comme un boeuf^^

 
Mandragore
Mandragore
28-04-07 à 08:07

Re:

Moi une 205: bon c'est pas mal sauf que le pied de la copine changait la station de l'autoradio....


 
aphone
aphone
09-11-07 à 14:11

Tu me fais terriblement penser à Petite Kaline mais vu ton avatar, ça ne doit pas être toi. En tout cas j'aime beaucoup. Continue bien !