Depuis le temps que j’attendais ce moment, le voilà enfin ! Me voici devant cet hôtel d'Issy-les-Moulineaux dans le 92, hôtel de la mairie, j'y étais déjà passé, mais pour le taf, là je m'y trouve donc dans un état d'esprit plus jouissif. Si elle n’a pas eu peur, elle m’attend dedans. Je sais que X est venue pour voir ce foutu concert, mais aussi et surtout pour moi (enfin, j'ai la faiblesse de le croire^^). Je rentre, demande à l’accueil : « il doit y avoir une chambre au nom de Melle X. » « Oui Monsieur, c’est la chambre 117, elle vous attends je crois ! » Rhô la vache, elle est venue ! ! ! Là, mon cœur s’emballe, mes mains deviennent moites, je commence à monter les marches et j’ai l’impression d’être tout léger, l’excitation me porte. J’adore ces moments de « bon » stress où l’on monte les marches ! (J’imagine qu’à Cannes c’est un peu le même truc…) J’arrive devant la porte, me pose une dernière fois la question à savoir si je fais pas une connerie! Tant pis, maintenant que je suis là, je ne peux plus reculer. Je frappe, ouvre. Elle est là, plein sourire ! Elle est magnifique, j’adore. Je lui lance un « salut » elle me répond, et commence à me poser pleins de questions ! Je ne réponds pas, la fixe en m’approchant. Je la soulève pour la porter à la manière des mariés qui portent leurs femmes dans la chambre pour la nuit de noce. Je la dépose au milieu du lit et m’assois . Je lui dégage les cheveux de l’oreille droite où je viens lui susurrer un « chuuuuuuuut ». Là je commence à l’embrasser dans le cou, puis sur la bouche. Elle est tellement surprise qu’elle se laisse faire, puis retrouvant ses esprits elle m’embrasse à son tour. Elle m’attrape par la nuque pour me donner le change, j’adore ! Je me redresse à califourchon sur elle et commence à lui déboutonner son chemisier, puis dégrafe son soutient-gorge. Ses deux superbes seins pointent en ma direction. Ils sont magnifiques, je les observe un instant, puis les caresse avec les mains au début, puis avec ma bouche et ma langue ensuite. Elle se cambre déjà sur le lit tout en respirant assez fort. Je continue ma quête. Je descends doucement ma langue jusqu’à son nombril puis me redresse pour lui enlever ce foutu pantalon ! Elle est tellement belle en culotte que j’ai quasiment pas envi de lui retirer ! Finalement, elle prend les devants et la retire, écarte doucement ses jambes pour m’offrir ce trésor qui selon ses paroles m’appartient ! Là encore ma langue se retrouve irrésistiblement attirée. Je commence à la lécher doucement puis remonte pour caler son clitoris entre mon index et mon majeur et le caresser lentement. Elle souffle de plus en plus fort. Je reprend mon investigation buccale et entreprend de la faire jouir avec ma langue. Ma langue se fait un peu plus dure et tournoie autour de son clitoris, appuie dessus, je le prend entre mes lèvres et l’aspire un peu avant de reprendre de plus en plus vite cette manœuvre ô combien périlleuse. Son clitoris gonfle (le frein de ma langue aussi) et devient de plus en plus sensible. Ses gémissements se font de plus en plus forts. Elle tend ses jambes et ne peut les laisser pliées, elle se contracte de partout, je continue mon forfait, elle pousse des cris maintenant. Soudain, un violent spasme lui soulève le buste du lit, elle crie, ses yeux se crispent, ses abdos se contractent, son corps retombe sur le lit et une succession d’autres spasmes, moins forts ceux-ci, s’ensuivent dans ces quelques secondes où elle semble s’abandonner complétement ! Je suis surpris qu’elle soit venue si vite ! L’excitation a dû la gonfler a bloc… Inerte, elle a l’impression de peser une tonne, que son corps s’enfonce dans ce lit et n’a plus la force de bouger. Puis, se reprenant au terme d’efforts incroyables, elle se redresse sur le lit, me plaque sur le dos et me déshabille tout en me disant : « à mon tour, tu vas voir mon vieux, tu vas morfler ! !» Mon sexe se retrouve libéré de ce pantalon et de ce caleçon qui l’oppressaient tant. Elle l’attrape à pleine main, joue avec puis le fourre dans sa bouche. Elle n’y met pas la langue tout de suite, juste ses lèvres qui attrapent le bout du gland rougit par l’intense excitation du moment. Elle l’embrasse de haut en bas, le malaxe, le branle. Puis, s’en prévenir l’enfourne dans sa bouche, plus profond et y pose sa langue en remontant. Elle s’attarde sur mon frein ! Pile poil l’endroit que je préfère. Puis elle envisage de me masturber tout en continuant cette fellation diabolique. Je m’abandonne à mon tour, c’est si bon. La pression monte et je sens que je vais venir. Ma respiration me trahie, mais elle semble vouloir aller jusqu’au bout. Elle me fixe droit dans les yeux tout en continuant son forfait, c’est trop bon, rhaaaaaaaa , je viens ! ! ! ! ! ! ! Elle me regarde toujours mais cette fois avec ce petit sourire en coin et cet œil salace et vengeur et me sors : « maintenant ça fait un partout ! » Je rigole, puis la serre contre moi. Nos deux corps nus s’enlacent puis on s’embrasse. J’adore ces moments de douces folies.  Je continue mes caresses, j’adore sa peau si douce. Je lui demande de s’allonger sur le ventre, elle s’exécute. Je commence par lui caresser le dos, puis très vite, j’arrive à ses fesses, elles sont splendides. Je passe ma main dessus, viens les embrasser. La gauche, la droite, puis les mordille tendrement. Je les écarte et viens y fourrer ma langue. Elle se contracte l’espace d’un instant mais ne dit rien. Elle consens à se laisser guider vers ce plaisir encore inconnu pour elle. Pendant que je lui lèche l’anus elle se caresse le sexe, elle trouve ça bon et ronronne comme un chaton tout en se tortillant du bassin. Ma verge se redresse, elle n'a pas eu son compte. Ensuite, elle me plaque sur le dos et commence à me chevaucher. Elle me grimpe dessus et mon sexe rentre dans le sien sans grande difficulté. D’habitude je n’affectionne pas trop cette position, mais là, je dois dire que de la voir d’en bas, sa petite trogne avec ces cheveux qui tombent vers moi, me plait énormément. Elle se cambre parfois vers l’arrière, reviens vers moi, plaque ses mains sur mon torse et le caresse tout en continuant de me faire l’amour. Finalement elle se retire et me demande de la prendre en levrette. Elle ne pouvait pas me faire plus plaisir en me demandant ceci. Elle se positionne et moi prend mon sexe à pleine main et commence à lui mettre doucement, puis le retire entièrement, je continue ainsi jusqu’à ce qu’elle s’impatiente. Elle me donne des coups de talon en me lançant : « Vas-y mets tout, j’en peux plus… » Je rigole, et sans prévenir, glisse ma verge doucement sur toute sa longueur. Ses bras tendus sur le lit se plient au niveau des coudes et je commence à m’activer. Je vais de plus en plus vite et de plus en plus loin. Elle se cambre de plus en plus. Je l’attrape par les hanches et elle commence a hurler, la tête dans l’oreiller. Quelques minutes après, je suis en sueur, c’est trop bon, elle crie de plus en plus fort, ça m’excite, j’ai l’impression que je vais lui briser le bassin, mais elle en réclame encore plus, l’émotion la submerge, ses cris me donnent l’impression qu’elle s’étouffe et ne peut plus respirer. Je sens que je viens. Je ralentit la cadence, mais finalement elle refuse et me demande de venir maintenant. Je continue donc cette levrette endiablée jusqu’à son terme. Epuisé, je m’effondre sur le lit. Je reprend mon souffle et lui dit : « attend, c’est pas fini, on a toute la nuit. Là c’était juste les amuse-gueules ». Je vais prendre une douche, reviens et me roule un buz que je fume avec elle a la fenêtre, torse nu. J'aimerais que le temps s'arrête à cet instant. J’adore ces moments où l’on fume a la fenêtre après avoir fait l’amour. Ainsi toute la nuit, nous n’avons pas arrêtés de s’adonner aux meilleurs des plaisirs, sans contraintes aucune, libres. Le lendemain, je repars, le vague à l’âme. Je l’embrasse, je sais que je ne la reverrai jamais mais je promet de ne jamais  l’oublier. Ce week-end fut terrible. Je me dirige vers le métro, puis vers la gare pour reprendre mon train, je me sens invincible, rien ne peut m’arriver…je suis bel et bien en vie!